![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgwfGhBe3J8i6R_QeVXCeN5i5xthRGLHa_9V1oLzNWSa_DPm0QGhoC1KXDDS6Ne-5zjUKi513V4WhJllqHqvOhRYsV0HkQzItQ-5WMF1PXvPosTn68R7uLRkBJHbiNzCLKXDnYjjGgh_WbT/s200/folie+irrationalit%25C3%25A9.jpg)
Le dernier sondage réalisé par l’institut Gallup ne laisse planer aucun doute : les particuliers, même aux Etats-Unis, sont extrêmement réticents à investir en Bourse. Ces derniers ne sont en effet plus que 54 % à détenir des actions directement ou indirectement. Il s’agit de la proportion la plus faible depuis 1999. En France, où la Bourse n’a jamais été en vogue, la proportion d’actionnaires individuels était de 13,8 % en septembre 2008, avant l’effondrement lié à la faillite de Lehman Brothers. Elle n’était plus que de 11,1 % en décembre dernier. Et aujourd’hui, si l’on demande aux Français s’ils sont prêts à acheter des actions, seuls 4 % d’entre eux répondent
« oui » (sondage TNS Sofres) ! Faut-il pour autant s’en inquiéter ? Pas vraiment. Le nombre d’actionnaires individuels n’a jamais été aussi élevé... qu’au début des années 2000, avec la réussite que l’on connaît. L’engouement des particuliers ne constitue donc pas un signal d’achat. Pour notre part, nous y voyons même un indicateur inversé...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire